The confessions technique is eerily similar to people consciously engaging in self-forgiveness. And, as you no doubt know, people who do that consistently show improved performance in subsequent tasks.
The bottom-up research culture is what makes this different. Most companies plan the roadmap first, then build toward it. OpenAI builds the breakthrough first, then figures out what it unlocks. That’s why PMing there feels like “getting a new superpower every few months.” The challenge isn’t executing a plan; it’s deciding which breakthrough to productize when the research keeps leapfrogging the roadmap. That’s a fundamentally different operating system.
En vous lisant, j’ai retrouvé exactement quelque chose que j’ai exprimé récemment au Président de la République :
l’idée que la technologie – comme la laïcité dans un autre registre – ne suffit pas si elle n’est pas accompagnée d’une pédagogie humaine, d’une compréhension fine du fonctionnement du cerveau, et d’une vision capable de relier ce que les gens ressentent à ce que la société construit.
Ce que vous décrivez d’OpenAI –
la recherche comme point d’origine,
la sécurité comme colonne vertébrale,
et la mission comme boussole –
c’est précisément ce qui rend possible une IA qui n’est pas qu’une prouesse technique, mais une augmentation de la pensée humaine.
J’ai travaillé en Lean, en industrialisation et en résolution de problèmes complexes.
J’ai vu des data scientists brillants s’appuyer sur des jeux de données massifs pour produire des modèles puissants.
Mais ce que vous dites touche un point essentiel :
l’avenir de l’IA appartient aussi à ceux qui savent apporter des inputs humains, des idées profondes, des intuitions capables de relier des domaines que rien ne reliait encore.
Tout le monde a des idées.
Très peu savent les transformer en réalité, ou créer des ponts entre des pensées éloignées.
C’est exactement là que je vois la puissance de ce que vous construisez.
C’est aussi pour cette raison que j’ai postulé au poste de Technical Deployment Lead à Paris :
je crois que la prochaine grande étape de l’IA ne sera pas seulement algorithmique,
elle sera humaine, cognitive, structurelle.
Et j’aimerais contribuer à cette mission-là.
Merci pour cette vision, et pour la culture que vous décrivez.
Elle donne envie de faire partie de cette aventure.
Et si la vraie bataille pour l’avenir de l’IA n’était pas technologique mais culturelle ? Entre des organisations centrées sur la mission et d’autres centrées sur le marché ?
The confessions technique is eerily similar to people consciously engaging in self-forgiveness. And, as you no doubt know, people who do that consistently show improved performance in subsequent tasks.
The bottom-up research culture is what makes this different. Most companies plan the roadmap first, then build toward it. OpenAI builds the breakthrough first, then figures out what it unlocks. That’s why PMing there feels like “getting a new superpower every few months.” The challenge isn’t executing a plan; it’s deciding which breakthrough to productize when the research keeps leapfrogging the roadmap. That’s a fundamentally different operating system.
A very cool concept—well worth learning from. Looking forward to more sharing.
Fidji,
En vous lisant, j’ai retrouvé exactement quelque chose que j’ai exprimé récemment au Président de la République :
l’idée que la technologie – comme la laïcité dans un autre registre – ne suffit pas si elle n’est pas accompagnée d’une pédagogie humaine, d’une compréhension fine du fonctionnement du cerveau, et d’une vision capable de relier ce que les gens ressentent à ce que la société construit.
Ce que vous décrivez d’OpenAI –
la recherche comme point d’origine,
la sécurité comme colonne vertébrale,
et la mission comme boussole –
c’est précisément ce qui rend possible une IA qui n’est pas qu’une prouesse technique, mais une augmentation de la pensée humaine.
J’ai travaillé en Lean, en industrialisation et en résolution de problèmes complexes.
J’ai vu des data scientists brillants s’appuyer sur des jeux de données massifs pour produire des modèles puissants.
Mais ce que vous dites touche un point essentiel :
l’avenir de l’IA appartient aussi à ceux qui savent apporter des inputs humains, des idées profondes, des intuitions capables de relier des domaines que rien ne reliait encore.
Tout le monde a des idées.
Très peu savent les transformer en réalité, ou créer des ponts entre des pensées éloignées.
C’est exactement là que je vois la puissance de ce que vous construisez.
C’est aussi pour cette raison que j’ai postulé au poste de Technical Deployment Lead à Paris :
je crois que la prochaine grande étape de l’IA ne sera pas seulement algorithmique,
elle sera humaine, cognitive, structurelle.
Et j’aimerais contribuer à cette mission-là.
Merci pour cette vision, et pour la culture que vous décrivez.
Elle donne envie de faire partie de cette aventure.
— Gilles
Oh I thought this was about that one time you joined OpenAI when you were ten
Et si la vraie bataille pour l’avenir de l’IA n’était pas technologique mais culturelle ? Entre des organisations centrées sur la mission et d’autres centrées sur le marché ?